Il a contribué à lancer les Beatles en leur faisant enregistrer leur premier album « Tony Sheridan and The Beatles ».
A l’époque, les Fab Four accompagnaient Sheridan et faisaient quelques choeurs. Comme beaucoup de ceux qui ont oeuvré à faire naître la légende, Tony Sheridan est parti dans l’ombre. Il avait 72 ans.
Cette jeune chanteuse brésilienne a la voix d’un ange et c’est sur cette thématique qu’elle ouvre son magnifique album avec ce titre envoûtant « Anjo Gabriel ». Après avoir accompagné sur scène Jane Birkin, Etienne Daho, Rosemary Standley de Moriarty et le grand Piers Faccini qui lui a prêté son studio d’enregistrement, Dom la Nena sort enfin sort premier album. La belle n’a que 23 ans. Cet opus se trouve agrémenté de l’intervention de quelques guests tels que Camille ou Piers Faccini, une façon de leur dire merci pour leur soutien indéfectible. Il suffit donc qu’une poignée de gens y croit pour que le rêve devienne réalité…
Les chansons de Dom La Nena ne suivent aucun courant. C’est elle qui porte ces ambiances par son identité propre. Une intemporelle valse nous importe au son des violons, les sonorités se fondent et se percutent à la fois. C’est un voyage délicieux à faire les yeux fermés et le casque sur les oreilles. Ailleurs…Loin…En des terres lointaines qu’on a d’un coup envie de visiter. Les influences se mélangent, entre Amérique du Sud et Orient. Et cette voix, ce souffle pur qui vous charment dans une douceur entêtante. 13 chansons sublimes pour sortir de l’hiver la tête dans les nuages, un rayon de soleil brésilien dans le cœur.
Sortie le 28 février chez SixDegrees/ Universal
Il aura fallu attendre près de 5 ans pour faire tourner cette galette dans la platine. Les amateurs de country-folk n’étaient évidemment pas passés à côté de son excellent « Trick Bag » sorti en 2008. Ian Kent et ses immigrants nous proposent cette fois des colorations plus rock and blues. Ce nouvel opus s’inscrit moins dans les gentilles balades à la Buddy Holly et un peu plus dans des sonorités à la sauce Rolling Stones ou Kinks. L’américain ose donner de la voix, le piano est martelé avec énergie, la guitare se fait tantôt rock, tantôt jazz manouche. Les ambiances s’enchainent et ne se ressemblent pas. On voyage dans un autre temps, celui des vrais musiciens qui jouaient plus pour le plaisir de faire sonner leurs instruments que dans l’optique de vendre des disques. L’esprit de Bruce Springsteen et autres vieux routards de la Road 66 n’est jamais bien loin dans ces balades d’écorché vif comme « Broken dreams ». Ian Kent a ce côté « Poor Lonesome Cowboy » qui continue sa route loin des médias. Mais le vrai mélomane sait gratter dans les bacs à disques virtuels pour trouver son bonheur. Les magasins ferment, la musique est éternelle… Ian Kent est un musicien possédé par les plus grands du siècle dernier ! Il paraît qu’il a troqué son flingue contre une guitare…C’est ce qu’il raconte dans ses chansons en tout cas.
Sortie officielle le 9 octobre 2012 chez Musicast
pop & roll music 